Piégé il est régressé, féminisé et contraint à porter des couches

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il y a 3 ans

Ca n'est pas comme cela que j'avais prévu de passer mon Vendredi soir. C'était en partie pour aider Claire, ma soeur, qui avait deux baby-sitting dans la soirée mais surtout pour calmer ma mère qui était sur le point de me jeter à la rue, que je me trouvais à me rendre chez Geeta. Maman avait des problèmes pour me surveiller depuis le départ de Papa et elle sentait que je tournais mal.

Voila pourquoi à dix-huit ans, une semaine de salaire en poche, j'allais faire du baby-sitting. Je me consolais en pensant que je pourrai dépenser plus Samedi soir et aussi que ça me faisait un prétexte pour revoir "Tati" Geeta.

Elle n'était pas réellement ma tante. Elle avait travaillé pendant prés de dix ans avec Maman, puis avait arrêté pour s'occuper de son bébé. Cela avait causé une grande émotion à l'époque car elle n'était pas mariée et personne ne l'avait vue avec un homme. Depuis elle avait été le sujet de beaucoup de mes fantasmes et bien que personne n'ait vu le père, je savais qu'aucun de mes rêves ne pouvait devenir réalité.

Geeta est Danoise. Elle avait vite retrouvé sa silhouette après l'accouchement toujours grande et svelte, ses courts cheveux blonds lui donnant un air de garçon accentué par sa façon de s'habiller: jeans étroits, tee-shirts et rarement maquillée. En sonnant à sa porte je réalisais que ça faisait des mois que je ne l'avais vue. Elle ouvrit et me fit entrer.

"Bonjour David, entre vite, je suis en retard"

Elle alla à la cuisine et je la suivi de bon gré.

"Excuse moi de me dépêcher, il n'y aura pas de problème, sinon appelle ta Maman". Elle parlait un excellent français avec un léger accent piquant.

"Ta maman n'a pas besoin de venir, mais, en cas, toutes les affaires de Daniel sont dans la nursery, elle saura quoi faire. Débrouille toi pour manger et boire".

Geeta vérifia son maquillage dans le miroir. Elle ne portait pas grand chose mais elle était splendide, elle avait une longue robe noire collante avec une large ceinture de cuir rouge. Je me sentais jaloux de l'homme avec qui elle allait passer la soirée.

"Si tu me suis je te ferai voir ta chambre et la nursery".

Elle me fit signe de la suivre et comme elle montait les escaliers devant moi je pensais aux nombreuses fois où j'avais rêvé de me voir marcher derrière elle jusqu'à sa chambre.

"Il y a deux canettes au frigo, tu peux les boire mais s'il te plaît ne fumes pas, c'est pas sain".

Elle enfila ses chaussures rouges à talon haut.

"Ne m'attends pas je rentrerai tard. Je te verrai demain matin".

Là dessus elle sortit. La maison semblait très calme, je revint à la cuisine pour trouver le frigo. Je me préparais un plateau avec une canette et un casse-croûte et me dirigeais vers le canapé.

La bière était danoise et glissait bien dans le gosier. Après avoir fini la première canette j'allumais une cigarette; il allait se passer des heures avant qu'elle ne rentre et l'odeur aurait disparu.

La télévision n'était pas intéressante et ma pensée vagabondait sur la vision et l'odeur de Geeta lorsqu'elle se tortillait majestueusement en montant l'escalier. Je pouvais sentir mon excitation grossir dans mon pantalon et pour une fois je pensais qu'il ne serait pas mal venu de me coucher de bonne heure. Je nettoyais toutes les traces de repas et de fumée et quittais la pièce.

Je n'avais visité la chambre de Geeta qu'en rêve et je décidais d'aller voir à quoi elle ressemblait pour de vrai. Au lieu de quitter l'escalier au premier palier je continuais jusqu'au suivant et essayais d'ouvrir les portes en face. Elles étaient fermées toutes deux. Je me penchais pour regarder par la serrure mais ne put rien voir. Je continuais jusqu'au palier suivant.

En ouvrant la porte je compris que c'était la chambre de Geeta, la senteur de son parfum envahissait tout, elle était aménagée de façon plus féminine que je n'avais imaginé. Les rideaux et le couvre lit étaient en satin rose, le papier peint et la moquette épaisse d'un rose pâle assortis. Visiblement Geeta avait eu des problèmes pour décider comment s'habiller car de nombreux vêtements étaient étalés sur le lit.

Je m'approchais et m'assit sur le lit, passant ma main sur le couvre lit froid et doux jusqu'à ce qu'elle effleure ses vêtements. Il y avait un chemisier de soie qui fit se tendre mon pénis contre mon jean quand j'imaginait qu'il avait caressé les seins de Geeta. Je l'amenais contre mon visage et enfoui mon nez dedans pour m'imprégner des odeurs de Geeta qu'il avait conservé. Mon érection était devenue douloureuse et je décidais de me soulager sur le lit. Je me déshabillais rapidement et m'allongeais, le matelas était souple et je m'enfonçais dans les douces matières, je tirais le chemisier sur ma figure et me caressais gentiment, doucement. L'odeur de Geeta semblait m'envelopper et je l'imaginais se déshabillant et s'approchant du lit et ....

"David, tu es le diable en personne!!" c'était la voix de Geeta.

Mon s a n g se glaça. Pourquoi était-elle rentrée si tôt? Pourquoi ne l'avais-je pas entendu entrer et monter l'escalier? Que pouvais-je bien dire? Je ne trouvais même pas le courage d'enlever le chemisier de sur mon visage écarlate. Geeta le tira v i o l emment et me regarda de haut, tout son corps exprimait le dégoût et la colère.

"Tournes toi pervers, que je n'ai pas à voir ton petit pénis"

Pendant que je me tournais elle alla au téléphone et le décrocha, je ne savais toujours pas quoi dire.

"Que vais-je raconter à ta mère? Elle m'avais bien dit qu'elle avait des problèmes avec toi mais je n'avais pas réalisé que c'était à ce point. Et comment Claire va-t-elle prendre ça? Tu sais qu'elle ne voit le monde qu'à travers toi".

"S'il te plaît Geeta ne leur dis pas, cela va les choquer. Cela va détruire Claire, elle se reprochera de m'avoir envoyé ici et maman va me mettre à la rue".

"Tu ne mérites aucune sympathie, je ne pourrai plus porter ce chemisier à présent. Joues-tu aussi avec les affaires de ta maman?".

"Ca n'est pas cela Geeta..." J'hésitais, puis pensais que le seul moyen de m'en sortir était de dire la vérité. "Je ne suis pas travesti, c'est juste parce que le chemisier est à toi et qu'il porte ton odeur. J'ai .. j'ai toujours rêvé de partager ton lit ....".

Après ça j'espérais qu'elle s'adoucirait mais cela la fit rire et elle devint encore plus fâchée.

"Stupide petit garçon, comment peux-tu penser que je puisse jamais avoir la moindre inclination pour quelqu'un comme toi".

"Tu as besoin d'une punition et puisque tu ne veux pas que ta famille soit au courant de tes sales habitudes, c'est moi qui vais te l'administrer" continua-t-elle.

Je commençais à me sentir mal à l'aise, mon pénis poussait contre le couvre lit soyeux. J'avais presque atteint l'orgasme et la présence de Geeta faisait palpiter mon sexe. La sensation était incroyable et je glissais la main sous moi pour me caresser. Geeta s'en aperçut et hurla:

"Arrête!! Mets les mains derrière le dos, comment oses-tu te masturber devant moi. Que veux-tu que je fasse maintenant, que j'appelle ta maman ou que je t'apprenne à te conduire comme il faut?"

Je sortis ma main et restais tranquille, il semble que je n'avais pas le choix.

"Je préfère que maman ne sache rien" répondais-je "Que vas-tu faire?"

"Je vais commencer par t'attacher les mains comme cela tu ne seras pas tenté de te tripoter".

Elle pris une fine ceinture plastique d'une des robes sur le lit et m'entoura les poignets. Elle me coupa la peau en tirant sur le noeud qu'elle avait fait.

"Si tu veux que je te punisse tu devras d'abord me la demander correctement. Ensuite je déciderai de la punition. Tu peux commencer par m'appeler Tati Geeta".

Ma tête était de côté et il me fallait faire un effort pour la lever vers elle. Elle se tenait jambes écartées ce qui faisait plaquer sa jupe sur ses jambes splendides. Les mains sur les hanches elle me regardait de haut, attendant que je demande.

"Tati Geeta, veux-tu me punir", dis-je.

"Essaye encore David sans oublier la politesse et dis moi pourquoi tu as besoin d'être puni".

Ma bouche était sèche et je dû faire un effort pour redemander:

"S'il te plaît Tati Geeta veux-tu me punir, parce que je ...." Je trébuchais sur les mots.

"Parce que tu es un PERVERS" Répliqua-t-elle "Essaye encore".

"S'il te plaît Tati Geeta veux-tu me punir, parce que je suis un ... pervers".

"D'accord David, il faut que je trouve quelque chose qui convienne. Je ne crois pas aux châtiments corporels, alors je ne vais pas te battre."

Elle caressa son menton de la main comme si elle réfléchissait profondément puis un sourire vint sur ses lèvres et je compris qu'elle avait trouvé quelque chose qui ne serait sûrement pas à mon goût.

"As-tu regardé dans les pièces du palier du dessous quand tu as fouillé la maison David?".

"Non Tati Geeta" oubliant d'avouer que j'avais essayé mais que les portes étaient fermées.

"Bien, ta punition sera de passer la nuit dans ma salle de jeux. Laisse tes affaires ici et passe devant".

J'étais soulagé, ma punition ne serait pas si terrible que ça. Je me levais avec difficulté, elle se saisit de la ceinture. Elle me suivit jusqu'à la porte me tira en arrière pour attr a p e r un trousseau de clés derrière l'ouvrant puis me poussa en avant pour me faire redémarrer vers l'escalier et les portes fermées.

"Ta punition, David, sera de faire exactement ce qu'on te dit sans poser de questions. Compris?".

"Oui Tati Geeta" répondais-je.

"Si tu te comporte bien et accepte ta punition, personne n'aura besoin de connaître tes égarements de cette nuit et ce qui t'est arrivé après".

Je commençais à me sentir mal à l'aise mais Geeta tenait fermement mes liens et dans ma situation je pouvais difficilement m'échapper. Elle ouvrit la porte, me poussa à l'intérieur et n'alluma qu'après avoir refermé. Je n'en croyais pas mes yeux. La pièce était aménagée comme une pouponnière sauf que les accessoires étaient plus grands. Je m'adossais au mur et doucement, commençais à réaliser ce qu'elle m'avait réservé. Geeta ricana quand elle vit mon visage changer d'expression.

"A partir de maintenant David, tu ne parles que si je te le demande, écoute et fais ce qu'on te dit".

"Ta maman m'a dit que tu te prenais pour un homme. Cette nuit je vais te montrer que tu n'es en réalité qu'un bébé et je vais te traiter comme tel. C'est le moyen idéal pour te donner une leçon".

J'ouvrais la bouche pour protester mais le regard de Geeta me persuada que ça ne serait pas judicieux. J'avais besoin de temps pour imaginer un plan et essayer de m'échapper et il me fallait les mains libres.

"Tati Geeta, mes poignets me font très mal, s'il te plaît ..."

"Tais-toi, je ne t'ai pas demandé de parler" Coupa-t-elle, puis rajouta "Veux-tu que j'enlève la ceinture?".

"Oui s'il te plaît Tati Geeta" répondais-je.

"Dis moi que tu seras un bon petit bébé".

Je me sentis rougir. Je n'arrivais pas à sortir les mots même si je la voyais s'agiter.

"J'attends une réponse - BEBE!".

"Je serai un .. un bon .. petit .. bébé Tati Geeta" J'arrivais à sortir ça, incapable de la regarder en face. A cet instant j'aurai pu dire n'importe quoi pour avoir les mains libres.

"Bien, maintenant allons dans le parc et j'enlèverai cette vilaine ceinture".

Elle m'indiqua un grand parc d'e n f a n t au centre de la pièce. Il avait un fond recouvert d'une matière plastique brillante. Je n'aimais pas la perspective d'y entrer mais je pensais qu'au moins j'aurai les mains libres et ce serait une étape vers ma libération. Je m'approchais et enjambais la barrière, tournant mon dos vers Geeta pour qu'elle détache la ceinture.

"Assoie toi bébé, là, dans le coin".

Geeta avait en main un long manche de bois. Bien qu'elle ai dit ne pas croire aux châtiments corporels, j'étais conscient de ma nudité et des douleurs qu'elle pouvait m'infliger.

Je fis comme elle dit. Le plastique était doux et froid sous mes fesses; Geeta passa la main entre les barreaux mais au lieu de défaire la ceinture elle saisit mes coudes, les tirant en arrière à travers les barreaux et enfila le manche entre le parc et le creux de mes coudes. Cela eu pour effet de f o r c e r mes épaules en arrière et mon torse en avant. La douleur me déchirait et je hurlais.

Geeta se releva, alla vers un placard qu'elle ouvrit et qui révéla tout un assortiment de s a n g les de longueurs et épaisseurs différentes. Geeta se tourna vers moi, réfléchit une ou deux secondes puis fit son choix et revint vers le parc.

"On va bientôt être libéré de cette ceinture petit".

Elle dit vrai mais seulement après qu'elle eu solidement attaché mes avant-bras ensemble et aux barreaux du parc avec la courroie qu'elle avait choisi dans le placard. Gentiment, Geeta massa mes poignets et je sentis mes mains revivre avec la circulation s a n g uine. J'étais à présent dans une situation bien pire, certes mes poignets n'étaient plus douloureux mais j'étais très efficacement réduit à l'impuissance.

"Tu ne peux pas arriver à défaire cette s a n g le mais pour te décourager d'essayer je vais te faire mettre de jolies moufles rembourrées."

Elle avait apporté du placard des moufles matelassées qu'elle enfila sur mes mains et attacha à mes poignets. Au loin j'entendis la sonnette, elle regarda vers la porte puis se retourna vers moi

"Ca, David, ça doit être mon amie Anna. Si tu es un petit garçon très sage je ne l'amènerai pas te voir mais au moindre bruit je la ferai venir pour m'aider à te punir. C'est compris?".

"Oui Tati Geeta". .

"Bien. Pendant que je suis en bas tu n'as qu'à regarder autour de toi et voir si tu peux imaginer ce que je t'ai réservé." Elle se releva, et caressa mes cheveux avant de quitter la pièce et de refermer la porte à clé.

Dés que le bruit de ses pas disparurent, je me débattais pour essayer de libérer mes mains. Rien a faire elles étaient solidement liées. A l'évidence Geeta avait de l'expérience, en pensant à cela je me demandais pourquoi elle avait une telle pièce, qui était passé là avant moi et surtout, que leur était-il arrivé ? J'examinais tout ce que je pouvais voir dans la pièce en essayant d'envisager ce qu'elle avait préparé. J'espérais que l'arrivée de son amie écourterait ma punition et qu'elle ne serait pas trop sévère. La clé tourna dans la serrure et Geeta entra.

"J'ai vu que tu as bu les deux canettes David, je pense que tu dois vouloir te soulager avant de commencer, à moins que tu ne préfères garder ça pour tes couches?"

Cette seule idée me terrassait et je me débattit pour libérer mes bras .Geeta sourit vers moi.

"Ca ne sert à rien de lutter, tu vas être mon bébé pour la nuit que ça te plaise ou non. Maintenant dis-moi si tu veux tes couches tout de suite ou aller sur le pot avant?"

Je savais que je ne pourrai plus me retenir longtemps. Le pot semblait le moindre mal aussi je serrais les dents, baissais la tête et dit:

"J'utiliserai le pot".

"Non bébinou, ça n'est pas assez bien. Tu dois interroger comme un bébé et me le demander gentiment."

Je n'arrivais pas à me f o r c e r.

"Je ne vais pas y passer la nuit, mon amie est en bas peut-être qu'elle aimerait m'aider à te mettre des couches."

"S'il te plaît Tati Geeta... puis-je utiliser .. le petit pot?" dis-je dans une voix haut perchée qui j'espérais lui conviendrait.

"Très bien mon petit" Elle rit de mes efforts et apporta du placard un grand pot en plastique rose.

Elle le plaça derrière moi et m'aida à me soulever pour le glisser sous mes fesses. Elle passa sa main autour de mon corps pour s'assurer que mon pénis pointait vers le bas derrière l'écran pare éclaboussures. Satisfaite elle alla vers le lavabo dans le coin de la pièce et se lava les mains.

"Tati Geeta va descendre un moment, je reviendrai pour vider le pot et te préparer pour aller au lit bientôt."

Quand elle fut partie je pris conscience d'un bruit d'eau qui coulait; elle avait laissé le robinet ouvert et ça n'était pas fait pour m'aider. Je relevais la tête et vit ma pitoyable image dans le miroir, je ne pouvais plus me retenir et dans un mélange de soulagement et de dégoût j'urinais dans le pot. Le bruit semblait faire écho dans la pièce alors qu'un torrent d'urine menaçait de faire déborder le vase.

Comme je regrettais d'être allé dans sa chambre pour me tripoter. Je méritais une remontrance mais ceci était épouvantable. Si quelqu'un de mes amis ou de ma famille l'apprenait, je ne pourrai plus jamais tenir la tête haute. Le temps n'en finissait pas avant que Geeta revienne, mon derrière était engourdi. la bordure du pot s'était enfoncée dans ma peau et il me tardais qu'elle vienne l'enlever. Il semble qu'elle avait prévu autre chose car elle ouvrit la garde robe et en sortit une boite en plastique blanc qu'elle apporta près du parc. Elle revint au placard et attrapa un tablier de caoutchouc rouge qu'elle enfila, ensuite elle sortit une paire de gants de caoutchouc d'un tiroir et ça n'est qu'à ce moment qu'elle vint voir dans le pot. Elle sourit en enfilant les gants.

"Bien trésor, tu as été un bébé occupé, est-ce que ton derrière est douloureux?" Elle parlait en roucoulant comme font les femmes avec les bébés; j'étais en fureur.

"Oui Tati Geeta" répondais-je.

"Bien à présent tu dois choisir quelle sorte de couche tu vas porter. En veux-tu une douce et délicate en éponge ou un change complet jetable?" demanda-t-elle.

Je ne répondais pas. Elle se tenait devant moi, les bras croisés. Elle paraissait très forte et sure d'elle avec son tablier. Je me sentais intimidé et impuissant.

"Tu te sentiras beaucoup mieux quant tu sortiras de sur le pot. Si tu veux que je te laisse partir demain tu dois être un gentil bébé et faire ce qu'on te dit."

Je la croyais et décidais de subir ma punition le plus rapidement possible. Elle semblait deviner que tout esprit de bataille m'avait quitté et elle alla derrière moi.

"Dis à Tati Geeta quelle sorte de couche tu veux porter."

" La couche jetable" murmurais-je.

"Non bébé, tu dois la demander gentiment comme un bébé, rappelle toi."

Elle s'appuya contre moi et l'odeur du caoutchouc me fit frissonner, elle semblait accentuer mon impuissance.

"S'il te plaît Tati Geeta, puis-je porter un change complet?" demandais-je

"Bien sur joli coeur" répondit-elle "je vais le préparer.

Elle était derrière moi mais je pouvais la voir dans le miroir sortir le change complet de la boite ainsi qu'un flacon . Elle me fit soulever le derrière de sur le pot ce que je fis avec soulagement. Le plastique froid du fond du parc était un calmant pour mon derrière.

"Lève ton petit derrière que je le sèche et le nettoie" ordonna-t-elle.

Elle attrapa un linge odorant et frotta mon derrière et autour de mes organes, Je la vis mettre un peu de lotion sur son gant de caoutchouc et elle l'appliqua gentiment sur les mêmes parties. L'odeur de la lotion envahit mes narines et me fit frémir. Sa main s'attarda sur mon pénis qu'elle massa avec d'avantage de lotion. Mon sexe réagit à cet attouchement et j'étais effrayé que Geeta s'énerve.

"Regarde ton petit pénis bébé, il est tout excité à l'idée d'être enveloppé dans une jolie mignonne couche. Soulève ton derrière que je la glisse dessous."

Je soulevais lentement mes fesses sachant bien que c'était inévitable et sentis la couche poussée sous moi. Elle s'affaira autour de moi depuis derrière pour la mettre en place, rabattit le devant vers en haut et la fixa serrée. Je sentais son corps presser contre mes bras et l'odeur de son parfum mélangé à celui du caoutchouc me faisait bouger les jambes de manière incontrôlée.

"Là, n'est-ce pas agréable trésor?" demanda-t-elle en saisissant mon pénis à travers l'épais matelas de la couche.

"A présent dis à ta Tati quelle sorte de culotte plastique tu veux porter. Aimerais-tu une culotte rose unie ou une joli culotte à froufrous?"

Je me tortillais de manière inconfortable. Sa main me caressait par dessus la couche et je devais admettre que je commençais à prendre plaisir à la sensation. Je réalisais que je n'avais d'autre choix que de faire ce qu'elle me disait pour qu'elle reste satisfaite. Qui sait quand tout cela finira-t-il?

"Puis-je porter la culotte unie s'il te plaît Tati Geeta?"

Elle sortit de la boite une hideuse culotte plastique rose et entra dans le parc. Quant elle leva le pied pour enjamber la traverse, le tablier s'enroula tout seul autour de ma tête. L'odeur était très forte. Comme je ne pouvais m'y soustraire, elle semblait accentuer mon impuissance et le pouvoir de Geeta. Quand elle fut à mes pieds, ses mains glissèrent à l'intérieur de la culotte et elle étira l'élastique de la taille. Elle me regardait droit dans les yeux et sourit quand elle vit l'expression de dégoût sur mon visage.

Elle s'agenouilla et, l'un après l'autre, enfila mes pieds dans les jambes de la culotte. Ses yeux ne quittaient pas mon visage et elle souriait alors que j'essayais sans succès de cacher mon émotion.

"Voila un gentil petit bébé pour Tati. Je parie que tu as choisi la jolie culotte rose pour devenir un petit bébé fille. Je pense que je vais t'appeler Suzinette, ça te plaira n'est-ce pas?".

Je fermais les yeux de honte en soulevant mon derrière pour qu'elle puisse enfiler la culotte sur la couche. Geeta prenait son temps s'assurant que les élastiques aux jambes étaient bien en place. Je gardais les yeux fermés pour ne pas la voir se repaître de ma mauvaise posture.

"Petite Suzinette semble fatiguée, on va lui préparer son dodo."

Elle était debout, ses jambes me chevauchant. Elle se pencha vers moi et une fois encore mon visage s'enfonça dans le tablier de caoutchouc. son corps s'appuyait sur moi et écrasait ma tête contre les barreaux. Je luttais désespérément pour pouvoir respirer pendant qu'elle ôtait le manche en bois de derrière mes bras.

Quand Geeta se releva je remplis mes poumons et mon corps s'affaissa en avant avec soulagement. Mes bras étaient toujours s a n g lés ensembles dans mon dos mais j'avais un peu de liberté de mouvement. Elle m'aida à me mettre sur pieds et je pus sortir du parc. Alors qu'elle me guidait vers le berceau, l'épaisse couche me faisait me dandiner maladroitement; tout ce qui avait trait à la culotte et à la couche me rendait ridicule, même le bruit qu'elles faisaient en frottant l'une contre l'autre.

J'espérais que Geeta s'attendrirait mais il semblait que dès que je m'habituais à une humiliation elle prenait plaisir à m'en infliger une nouvelle. Arrivé au berceau elle s'arrêta pour que je puisse l'inspecter. L'intérieur était tapissé de latex blanc. Au fond il y avait deux s a n g les fixées au côtés, près de la tête il y avait un harnais de cuir conçu comme des rênes-guide pour bambin trotteur. J'essayais de m'écarter du berceau mais Geeta m'en empêcha.

"Ca ne sert à rien Suzinette, tu ne pourrai même pas sortir de la nursery, en plus où irais-tu habillé comme tu es. Allez vient au lit."

Elle m'aida à monter dans le berceau, un pied après l'autre puis attacha mes chevilles avec les courroies. Elle décrocha le harnais sur un coté et le replia sur le bord.

"Allonge toi une minute Suzinette, le temps pour Tati Geeta d'aller te chercher une jolie nuisette."

J'hésitais et Geeta appuya ses mains sur mes épaules et me poussa en arrière jusqu'à ce que je me retrouve allongé mes bras douloureux.

"Rappelle toi bébé, si tu n'obéis pas, je peux décider de tout révéler, ton crime et ta punition. Chaque fois que tu résisteras je trouverai quelque chose à rajouter à ton dressage de petit bébé. Comme tu ne t'es pas allongé tout de suite tu vas avoir ta sucette."

Elle attrapa dans la boite une sucette rose et la mit devant mon visage.

"C'est pour toi Suzinette, demande-la poliment."

"S'il te plaît Tati Geeta est ce que je peux avoir ma sucette." Je n'avais pas le choix.

Elle mit la sucette dans ma bouche et l'y maintint jusqu'à ce que je resserre mes lèvres sur la tétine.

"Suce bien pendant que je vais chercher ta nuisette."

Avant d'aller vers le placard elle poussa le berceau qui se mit à balancer d'un coté à l'autre. Elle revint en tenant un grande nuisette de coton rose style "baby-doll".

"Je suis sure qu'elle va t'aller parfaitement. Relève toi et je vais te détacher les bras, je parie qu'ils te font mal. Rappelle toi que tu as encore les moufles et que tu ne peux même pas défaire les s a n g les de tes chevilles. Si tu tente quoi que se soit, je pourrai décider de te garder tout le week-end ici."

Elle avait raison, il n'y avait pas d'issue pour moi. La sucette dans ma bouche était la punition pour n'avoir pas obéi assez vite, que ferait-elle si je tentais une folie ? Ses bras entourèrent mes épaules et elle m'aida à m'asseoir. Elle semblait avoir conscience du malaise que me procurait le tablier en caoutchouc quant il frottait contre moi alors qu'elle passait les mains derrière moi pour détacher la s a n g le sur mes poignets. Je ne tentais rien, j'appréciais le soulagement d'avoir les mains libres. Quand Geeta compris que le renonçais à lutter elle se releva et souris.

"Voila une petite fille intelligente, lève les bras que j'enfile ta nuisette."

Je levais mes mains emmaillotées et la nuisette vint sur mes bras et ma tête, elle était très courte et laissait mes jambes nues. Le sentiment d'humiliation alors que Geeta fermait le col de la nuisette fit monter un soupir dans ma poitrine.

"Tu peux voir comme tu es mignonne Suzinette, regarde toi dans le miroir, fais toi un beau sourire et un petit signe."

Je me tournais vers le miroir, l 'image ridicule que mon regard accrocha me fit facilement sourire tant que je n'associais pas cette image et moi. Geeta passa un bras autour de mes épaules et regarda vers le miroir.

"Fait un signe au gros bébé pour lui dire dodo, ensuite tu pourras t'allonger pour dormir." commanda-t-elle.

Je fis un signe et soulagé m'allongeais pour ne plus voir le sujet de plaisanterie que j'étais devenu. Geeta par contre semblait heureuse de ma transformation et de ma coopération. Pour la première fois elle me sourit affectueusement.

"Tati Geeta va te border mais elle reviendra te voir avant d'aller se coucher. Mets tes mains sur les côtés, petite."

Quant mes bras furent en place, elle me couvrit d'une couverture rose fantaisie, elle posa un nounours sur le coussin à coté de moi, entama un berceuse danoise en balançant le berceau et en me caressant la joue. Si ça n'avait été ma position humiliante, j'aurai très bien pu prendre plaisir à l'attention qu'elle me portait.

"Quand je reviendrai je veux te trouver exactement comme tu es là, avec ta sucette à la bouche et tes moufles. Sinon je serai très fâchée et devrai penser à une nouvelle punition. C'est compris bébé?"

"Oui Tati Geeta" répondais, puis j'ajoutais "Tati Geeta puis-je te poser une question?"

"D'accord vu que tu as été un bébé mignon."

"Quelle est la dernière personne à avoir utilisé ce berceau et que lui est-il arrivé? demandais-je.

Son visage s'assombrit et j'eus peur que ma curiosité ne me cause de nouveaux problèmes. Elle hésita avant de répondre.

"Le père de Daniel est le dernier et le seul à s'être couché dans ce berceau. Je ne puis dire qui il est, c'est lui qui a tout acheté et a équipé cette pièce. Il devait quitter sa femme qui ne comprenait pas ses étranges désirs, mais après m'avoir mise enceinte il décida qu'il ne voulait pas être en concurrence avec un vrai bébé et il retourna chez elle."

"Elle savait tout de moi et de nos jeux et menaça de dire partout que j'étais une prostituée si l'histoire était révélée. Il me donne de l'argent pour élever Daniel et je serai folle de risquer à perdre cela. La chose amusante c'est que je commençais à prendre plaisir à l'habiller et à le faire manger."

Elle resta un moment silencieuse, ressassant des souvenirs, puis revint à elle, se pencha et me donna un petit baiser sur la joue.

"Maintenant dodo Suzinette"

Elle leva la couverture et la tira jusqu'à mon menton. Les odeurs mêlées de l'alaise en caoutchouc et de la lotion pour bébé envahirent mes narines quant la couverture redescendit sur mon torse. Geeta donna un nouvel élan au berceau et quitta la pièce en refermant la porte à clé. Un sentiment de panique commença à grandir en moi. Jusqu'à ma dernière question j'étais persuadé que ma punition ne serait que de courte durée. Le doute s'immisçait. Ses sentiments à mon égard avaient évolués du dégout à une demi affection et en vérité elle semblait être en manque d'un "grand" bébé.

Alors que la panique montait j'étais pris de claustrophobie, attaché dans ce berceau. Je sortais les bras de sous la couverture et regardais mes mains emmitouflées. Je ne pouvais ni défaire le harnais ni me libérer des s a n g les aux chevilles avec ces moufles en place. J'expulsais la sucette et commençais à mordre les rubans qui tenaient les moufles en place. Je ne réfléchissais même pas à la façon de sortie de la pièce ni à quoi me mettre pour m'échapper. je ne supportais plus d'être ainsi, impuissant.

La clé tourna dans la serrure et la porte s'ouvrit en grand.

"Vilain bébé" cria Geeta en traversant le pièce jusqu'au berceau. "Tu vas rester dans ton lit jusqu'à nouvel ordre. Et où est ta sucette?"

Elle alla au placard et en ramena divers objets.

"Ouvre la bouche bébé" ordonnent-elle, "j'ai amené une sucette que tu ne pourras pas recracher."

J'ouvris la bouche et elle y enfonça une balle de caoutchouc noir à laquelle était attaché des courroies qu'elle tira brutalement derrière ma tête où elle les y attacha. La balle repoussait ma langue au fond de la bouche et m'empêchait de parler. Elle saisit mon poignet droit, le f o r ç a vers ma poitrine et le s a n g lât sur le devant du harnais. Elle fit de même avec le poignet gauche et remonta la couverture. La sensation de panique grandissait en moi et malgré la présence de Geeta je me débattais de toutes mes f o r c e s. Rien a faire, tout ce que j'y gagnais c'est d'irriter mes chevilles et poignets. Des larmes de frustration commençaient à couler sur mon visage.

"Tu dois apprendre à faire ce qu'on te dit bébé, dés que tu sauras je pourrai décider de te laisser partir. A présent de vais te laisser réfléchir à ça un moment avant de revenir pour ta boisson du soir."

Elle quitta la pièce sans s'inquiéter de refermer à clé. Je ne comprenais pas comment elle avait su que j'essayais de m'échapper, c'était comme si elle me regardait, pourtant je ne voyait aucun oeilleton d'espionnage. Je restais étendu, résigné à mon sort. Je n'avais aucun moyen de bouger ou de protester. J'étais sous la dépendance totale de Geeta. Quand elle revint j'avais décidé de ravaler ma fierté et de prendre les choses comme elles venaient. Geeta portait un plateau qu'elle posa sur la commode, et approcha une chaise près du berceau..

"Avance la tête petite que je t'enlève le bâillon."

Je coopérais avec bonne volonté et remuais les mâchoires après qu'elle eut enlevé l'objet de ma bouche."

"J'espère que tu as appris ta leçon et que tu vas être une sage petite fillette."

"Oui Tati Geeta." répondais-je.

"Bien, j'ai quelque chose de spécial pour toi."

Elle alla prendre sur le plateau un objet bizarre en plastique, comme je n'en avais jamais vu, ainsi qu'un bavoir et un tablier en caoutchouc. Elle s'assit à coté de moi, ouvrit le devant de sa robe et sortit son sein droit. J'avais l'impression que mes yeux allaient sortir de ma tête; elle appliqua le bout de l'appareil en forme d'entonnoir sur son téton et pompa avec une poire caoutchouc qui y était fixée. Son sein s'étira dans l'entonnoir et un jet de lait crémeux jaillit et coula dans un récipient transparent sous l'entonnoir. Je regardais, fasciné, le flacon se remplir. Quand le jet se calma elle refit l'opération avec le sein droit jusqu'à ce que le flacon soit plein à ras bord.

Geeta posa l'appareil avant d'essuyer ses tétons et de reboutonner sa robe. Elle enfila le tablier, dévissa l'entonnoir de l'appareil et le remplaça par une tétine de caoutchouc. Je déglutis involontairement alors qu'elle s'approchait de moi en souriant.

"Si tu le demandes très gentiment Tati va te faire boire son lait à elle, aimeras-tu ça?" demanda-t-elle.

L'idée m'épouvantait mais je n'avais pas le choix.

"Oui s'il te plaît Tati Geeta" mentais-je "j'aimerai avoir ton poupou."

"Assoie toi bébé que je te mette le bavoir."

Elle m'aida à m'asseoir et attacha le bavoir en plastique autour de mon cou. Mes bras étaient toujours solidement fixés au harnais et elle fit passer le bavoir par dessus. Son bras droit entoura mes épaules, elle agrippa mon menton, tira ma tête vers elle jusqu'à ce qu'elle s'appuie contre sa poitrine couverte de caoutchouc. Son autre main s'empara du biberon et elle plaça la tétine contre ma bouche.

"Ouvre grand comme une mignonne petite fille" et elle poussa la tétine contre mes lèvres.

Au premier contact je sentis une goutte de lait sur me lèvres j'ouvris la bouche et Geeta poussa la tétine. Plusieurs gouttes de liquide tiède tombèrent sur ma langue et j'avalais involontairement.

"Vas-y bébé il faut sucer" commanda-t-elle en faisant aller et venir la tétine entre mes lèvres.

Je commençais à sucer et des larmes de honte coulaient sur mes joues. Je fermais les yeux pour ne pas la voir me regarder pleurer et aussi pour ôter de ma vue cette chose collée à ma bouche.

"Bien bébé" dit-elle calmement et elle commença à me bercer doucement.

Le lait avait un goût étrange non déplaisant, fade et doux. Tant mieux car Geeta insista pour que je finisse tout. Quant j'eus terminé, elle m'enleva le bavoir, me recoucha dans le berceau et, attrapant la sucette elle la posa sur mes lèvres jusqu'à ce que j'ouvre la bouche pour la prendre.

"Cette fois ne la rejette pas. Tu suces et je vais t'aider à t'endormir. Es-tu bien installé " demanda-t-elle.

"Peux-tu me détacher les bras s'il te plaît Tati Geeta et je voudrai aller au cabinet avant de dormir."

"Tu as prouvé qu'on ne pouvait pas te faire confiance, alors tu vas rester comme ça."

"Mais Tati je suis dans l'impossibilité d'aller au cabinet dans la nuit."

"N'y pense plus mon petit, tu as tes couches et ça ne fait rien si tu fais pipi dedans, j'ai l'habitude de changer les bébés."

"Je voudrais une cigarette, j'en fume toujours une avant d'aller au lit". J'étais désespéré de ne pouvoir sortie de ce berceau et n'importe quel prétexte me semblait bon.

"Tu as ta sucette à la place, c'est beaucoup plus sain."

L'impossibilité d'aller aux toilettes renf o r ç a i t mon envie, le fait d'avoir les jambes immobilisées ne m'aidait pas non plus. J'essayais d'oublier mon besoin et la pression dans ma vessie. Geeta me regardait en ricanant pendant qu'elle remontait la couverture et me bordait en compagnie du nounours.

"Ta maman m'a dit que tu restais tard au lit le samedi matin, alors je vais te laisser couché jusqu'à ce que j'ai fini les courses demain. Ca ira bébé?"

"Je dois aller en ville demain matin Tati Geeta" mentais-je "j'ai rendez-vous au marché avec des amis."

"Bien, si tu veux tu pourras y aller dans la poussette" répliqua-t-elle.

Mon s a n g se glaça. Elle ne ferait par ça? sérieusement? ...

"Non ça ira, je renonce Tati" répondais-je à la hâte.

"Je pense que tu as raison. Maintenant dodo"

Elle balança le berceau et fredonna sa berceuse, je fermais les yeux et fis semblant de dormir. Ca parait bizarre mais le balancement était très relaxant, je m'aperçut qu'involontairement je tétais la sucette et lentement le sommeil m'envahit. Mon sommeil était troublé de rêves étranges mêlés de réalités. Je sentais mon besoin d'aller aux toilettes mais j'étais bien conscient de mon impossibilité de bouger. Mon rêve me ramenait au vestiaire de ma première école où pour je ne sais quelle raison j'étais enveloppé de tant de vêtements que je ne pouvais même pas bouger. Dans mon rêve la pièce était entourée d'urinoirs, il y avait les filles, les garçons, les maîtresses; mais je ne pouvais bouger et je me fis pipi dessus.

Je me réveillais brusquement. Mon ventre était trempé et un chaude sensation m'enveloppait. Je m'arrêtais mais les dégâts étaient faits, la couche trempée collait à ma peau et l'odeur d'urine m'imprégnait. Il faisait nuit noire et il me fallait encore attendre des heures avant que je puisse finir de vider ma vessie. La couche mouillée était inconfortable, mais ça n'était rien à coté du besoin de me vider, j'abandonnais toute fierté et me laissais aller dans la couche qui se satura très vite et déborda dans la culotte plastique qui elle même fuyait dans mon dos et sur mes jambes.

Le reste de la nuit se passa très mal, avec de courts moments de sommeil qui me laissèrent le temps de réfléchir à ma situation et à l'emprise que Geeta avait sur moi. Je priais pour qu'elle ne dise rien à ma famille ou à mes amis. Quand Geeta entra dans la pièce au matin, ce que j'avais fait était évident. Elle enfila les gants de caoutchouc et le tablier avant de s'approcher du berceau et de tirer les couvertures.

"Mais, par exemple" s'écria-t-elle "On dirait que tu as rempli tes couches, il semble qu'on ne peut pas trop compter sur ces changes jetables."

Elle se tourna vers le miroir et fit un signe. "Viens Anna et apporte la caméra."

"Oh non!" criais-je et je commençais à me débattre autant que pouvais me le permettre les s a n g les.

"Reste calme bébé et souviens toi, plus tu résistes et te comportes mal, plus long ce sera avant que je ne te laisse partir."

Des larmes roulèrent sur mon visage alors que la porte s'ouvrait et entrait une jeune femme portant une caméra vidéo. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder marcher vers moi, se tenant debout à coté du berceau, pointant la camera vers moi et filmant. La camera descendit vers mon corps pendant que Geeta relevait la nuisette mouillée et baissa la culotte plastique pour révéler la couche trempée. Geeta libéra les bandes adhésives sur les cotés et baissa le devant de la couche.

"Lève ton derrière chérie" susurra-t-elle "Tati va te mettre un peu plus à l'aise."

La caméra continuait de tourner pendant que je fis ce qui m'était demandé et que la couche était sortie de sous moi. Mon corps retomba sur l'alèse caoutchouc mouillée. Geeta m'essuya avec un lange en coton et épongea l'alèse jusqu'à ce qu'elle soit sèche.

"Tu as besoin d'un bon bain ma petite, mais je ne crois pas que nous puisions encore te faire confiance. Qu'en penses-tu Tati Anna?"

"Je pense que bébé se comportera beaucoup mieux quand elle aura vu la vidéo que nous avons faite mais en attendant, je crois que tu as raison."

Je tournais la tête vers Anna, elle avait cessé de filmer et me souriais. Elle était plus jeune que Geeta, peut-être vingt cinq ans, avec une haute silhouette et de longs cheveux bruns encadrant un joli visage. J'avais l'impression de la connaître mais ne savais pas d'où.

"Tati Anna va te garder pendant que je vais faire des courses avec Daniel." dit Geeta.

"Quand tu auras fini ton petit déjeuner nous regarderons ta vidéo, ensuite tu auras un bon bain avant d'être habillée" dit bruyamment Anna qui, c'était évident, s'amusait beaucoup à mes dépends.

"Mais...je croyais que tu allais me laisser partir ce matin Tati Geeta, s'il te plaît, laisse moi partir" suppliais-je.

"Tu oublis combien tu as été vilain cette nuit en essayant de t'échapper du berceau, et en plus tu as fumé dans la maison pendant que j'étais dehors. En outre Tati Anna a envie de jouer à la poupée avec toi ce matin. Nous déciderons après manger quand tu pourras retourner à la maison."

"Je m'en vais à présent, je te suggère de faire exactement ce qu'on te dit car j'ai pris une copie de ta vidéo et au moindre problème je l'amène tout droit à ta maman. Alors tu seras un bonne petite fille pour Tati Anna?"

"Oui Tati Geeta" répondais-je.

"Bien sur qu'il le sera" dit Anna "Nous allons beaucoup nous amuser à essayer toutes ses robes et en faire une adorable fille-bébé pour quand tu reviendras."

Geeta enleva son tablier qu'elle passa à Anna. Elle ôta ses gants avec un claquement sec et nous laissa seuls dans la pièce.

"Allons-y chérie, je vais commencer par te mettre une jolie couche propre et bien épaisse puis tu pourras te lever pour aller manger."

Anna apporta une énorme couche et attendit que je soulève mon derrière pour la glisser dessous. Elle l'enveloppa autour de moi et l'épingla très serrée. Elle était tellement épaisse qu'elle f o r ç a i t mes jambes écartées. Anna défit les courroies de mes chevilles, enleva la culotte plastique mouillée et la remplaça par une autre garnie de dentelle rose.

"Maintenant sortons du berceau et allons à la chaise haute. Quel nom 'ta donné Geeta?" demanda-t-elle en décrochant le harnais.

"Suzie, Tati Anna." répondais-je en rougissant.

Elle releva le plateau de la chaise haute avant de m'aider à sortir du berceau et à m'asseoir sur la chaise. Elle attacha mon harnais et rabaissa le plateau qui bloqua mes bras et me maintenait fermement en place. Mes pieds pendillaient sans pouvoir toucher le sol.

"Tati Anna va chercher ton repas, elle est là dans une minute, Suzie, tiens toi tranquille comme une fille sage."

Elle enfonça la sucette dans ma bouche et quitta la pièce. Mon épreuve n'avait commencé que depuis quelques heures mais j'en venais à accepter le fait qu'il n'y avait d'autre solution pour qu'elle se termine que d'attendre que mes tourmenteuses décident que c'était assez. A ma consternation je constatais que j'étais en train de téter ma sucette comme si c'était une cigarette, et c'est ce qui m'aidait à rester calme. Anna revint en portant une assiette en plastique et un biberon qu'elle posa sur le plateau, elle alla au placard et revint avec un bavoir en plastique qu'elle attacha autour de mon cou. Elle me sortit la sucette de la bouche et prit une cuillère de nourriture.

"Ouvre grand Suzie .....gentille fille." s'exclama-t-elle alors que j'ouvrais la bouche et avalais la fadasse becquée.

Elle continua jusqu'à ce que l'assiette soit vide. Malgré ma coopération elle m'en avait mis tout autour du visage, elle vint à coté de la chaise, tira ma tête contre son corps encaoutchouté et m'essuya avant d'attr a p e r le biberon et de mettre la tétine tout près de ma bouche.

"Es-tu prête pour ton biberon Suzie chérie?"

"Oui s'il te plaît Tati Anna." répondais-je sachant que je n'avais pas le choix.

Elle enfonça la tétine dans ma bouche et tint le biberon en l'air jusqu'à ce qu'il soit vide.

"Maintenant nous allons monter dans la poussette pour aller voir ta vidéo."

Elle approcha la poussette près de moi, enleva le plateau et défit mon harnais. Elle tint relevé la capote en plastique transparent pendant que je grimpais dans la poussette. Je failli presque tomber à cause de mes mains toujours attachées mais Anna surveillait et elle m'aida. Une fois bien assis elle m'attacha les jambes avec les s a n g les du siège et refixa le harnais.

"Peux-tu me détacher les mains s'il te plaît Tati Anna, je te promets d'être sage" suppliais-je. Mes mains avaient des fourmis et il me fallait les bouger pour faire revenir la circulation.

"Pas maintenant Suzie, je déferai les s a n g les quand tu sera prête pour ton bain. Est-ce que tu veux la sucette bébé?"

"Non merci Tati Ana." répondais-je.

"Essaye à nouveau ma petite, je sais en vérité que tu la veux."

"S'il te plaît Tati Anna puis-je avoir ma sucette."

"C'est bien mieux." C'est ce qu'elle voulait entendre.

Elle remit la sucette dans ma bouche et me poussa hors de la chambre jusqu'à la pièce voisine. Elle était peu meublée, il y avait un télévision sur un meuble contenant deux magnétoscopes. A part ça il y avait une chaise et un trépied devant une vitre donnant sur la pièce que nous venions de quitter. Anna nota mon air intrigué et expliqua:

"C'est une glace sans tain, j'étais assise ici jusqu'à ce que tu t'endormes la nuit dernière, filmant tout ce qui se passait. C'est comme ça que Tati Geeta a su que tu essayais de te détacher, nous te regardions toutes les deux.."

"J'ai monté une vidéo d'une demi-heure environ je suis sûre que tu crèves d'envie de la voir."

Elle me plaça devant la télé, installa une chaise de façon à pouvoir regarder l'écran et mes réactions. Le film commença et alors que je voulais l'ignorer je restais comme hypnotisé par ce qui se passait sur l'écran. Ca commençait par une vague silhouette assise nue dans le parc; heureusement la distance ne permettait pas de me reconnaître. La porte s'ouvrit et Geeta s'approcha de moi, à cet instant la caméra zooma sur mon visage et d'un voix e n f a n t i n e je demandais le pot à Geeta.

"Mais ça ne s'est pas passé comme cela." protestais-je "elle m'a obligé à le demander.

"Chut! regarde le film." ordonna Anna.

La vidéo continua avec Geeta m'aidant sur le pot; presque immédiatement je commençais à le remplir, la caméra faisant un gros plan sur l'expression de soulagement de mon visage. Geeta ensuite mis son tablier et les gants, ôta le pot et, sans que ça me soit suggéré je réclamais un couche puis la culotte en plastique et chaque fois Geeta s'exécuta. Le reste du film était de la même veine, toutes les protestations et hésitations de ma part avaient été coupées de l'enregistrement pour faire croire que j'avais été un participant volontaire. Il se terminait au moment où on me changeait la couche mouillée.

"Que penses-tu de ça Suzy, c'est difficile d'être une star du cinéma?".

"C'est très impressionnant Tati Anna on dirait que c'est moi qui ai voulu tout ce qui m'est arrivé."

"C'est ça l'idée joli-coeur. Je travaille au magasin vidéo en ville et j'ai prévu d'en donner une copie à toutes les jeunes femmes qui viennent à la boutique. Bientôt tu ne pourras plus passer dans la rue sans être reconnue. Tu vas être célèbre."

"Non! non! s'il te plaît ne fait pas ça Tati Anna." suppliais-je.

"Si tu ose dire non a quoi que se soit que je te demande (moi ou Tati Geeta) c'est ce qui arrivera. Geeta a porté l'original chez moi et une copie au magasin alors ne pense pas que tu puisses détruire celle là pour t'échapper. Tu peux me croire si je dis que tu n'as pas le choix mais qu'en fin de compte tu finiras par y prendre plaisir.

Je frissonnais à cette idée. Mon cerveau était vide, je ne pouvais penser à rien et restais assis, raide, pendant qu'Anna détachait mes mains et mes bras.

"Je suis sûre que tu n'auras plus jamais besoin de ça."

Elle avait raison je n'était en position ni de résister ni de protester. Anna s'amusa beaucoup ce matin car j'agréais humblement à tous ses ordres et ses demandes. Avant que Geeta rentre elle m'avait baigné, poudré, pomponné et fait essayer plusieurs ridicules costumes de bébé avant de décider celui qu'elle préférait. Quand Geeta revint, j'étais assis dans le parc berçant un nounours comme me l'avait demandé Anna. Elle s'était finalement décidée pour une robe rose en dentelle avec une culotte plastique à fanfreluches assortie, un bonnet en satin était attaché sur ma tête et des chaussons de laine rose complétaient l'ensemble.

A cause de mes fuites de cette nuit elle m'avait fait porter une épaisse couche éponge par dessus un change jetable ce qui faisait que je ne pouvais marcher qu'avec grandes difficultés. Mais ça n'avait aucune importance car Anna avait décidé que je devait me traîner à quatre pattes et elle s'amusait beaucoup à me faire la suivre partout sur les mains et les genoux.

Geeta semblait très amusée de mon apparence et même heureuse quand Anna lui rapporta que j'avais été très obéissant.

"Je suis allé voir la maman de Suzie." dit Geeta à Anna comme si je n'étais pas là. "Tu ne peux pas imaginer quelle horrible personne Suzie devient quant elle est habillée en David, surtout les week-ends. Sa maman ma dit qu'elle était sur le point de le mettre à la porte mais savait que seul il n'était pas capable d'affronter le monde." Je lui ai raconté comment il s'était bien conduit ici et que je pourrai le prendre comme locataire si elle avait encore des problèmes. Qu'en penses-tu Anna, voudrais-tu m'aider à surveiller Suzie la nuit et les week-ends?"

"Oh oui!" Répondit-elle "et je connais quelques amies qui aimeraient aussi nous aider."

"S'il te plaît Tati Geeta ne me laisse pas comme ça, j'en ai eu assez, j'ai appris la leçon et je promet de bien me conduire à la maison." Je la suppliais et les larmes coulaient sur mes joues à l'idée d'avoir a continuer à vivre comme un bébé.

"J'aime avoir un gros bébé Suzie, aussi j'ai bien peur que tu ne doives passer quelques week-ends comme un bébé. Je suis sur que ta maman notera une amélioration si Anna et moi te rappelons le week-end ce qui risque de t'arriver si tu lui cause encore du tracas."

Anna semblait légèrement contrariée d'avoir à abandonner un peu de son contrôle sur moi.

"D'accord Geeta, mais à la première mauvaise conduite je pense que Suzie devra aménager ici."

C'est comme cela que tout à commencé. Chaque samedi matin je m'en remettais à Anna et Geeta et devenais Suzie. Tant que j'obéissais à tout, je pouvais m'en aller le dimanche matin. La vie à la maison devint plus facile, maman était plus heureuse et ma conduite devenait acceptable. Je ne voudrais jamais l'admettre devant elle mais Anna avait raison, petit à petit j'en vins à attendre les week-ends avec impatience particulièrement le samedi.

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